Antropia ESSEC

Notre manifeste

Pour que les logiques sociales, environnementales et économiques se renforcent mutuellement, pour permettre aux territoires, aux organisations et à l’ensemble de l’économie de réussir leur transformation vers un monde plus inclusif et durable.

La mission d’Antropia ESSEC.

Antropia ESSEC a été créé en 2008 par la Chaire Innovation Sociale de l’ESSEC pour accompagner dans leur spécificité les entrepreneurs sociaux qui créent, développent et maximisent l’impact d’organisations à la fois socialement utiles, environnementalement vertueuses et économiquement pérennes.

Premier accélérateur d’entreprises sociales porté par une Grande Ecole de Management, Antropia ESSEC a pour mission de renforcer la capacité à agir de ces entrepreneurs, en les formant, les outillant et leur offrant un accompagnement adapté à leur stade de développement (émergence, consolidation et changement d’échelle, mesure d’impact social, implantation sur le Val d’Oise, etc.).

Notre impact

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entrepreneurs accompagnés depuis 2008

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% recommandent nos programmes

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% de projets accompagnés depuis + de 5 ans existent encore aujourd’hui

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emplois créés ou consolidés par les structures accompagnées

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projets accompagnés depuis 2008

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% de projets accompagnés en activité aujourd’hui

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emplois créés ou consolidés par les structures accompagnées

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% recommandent nos programmes

En devenant Antropien, accédez à :

Des temps collectifs de formation (professeurs de l’ESSEC ou praticiens expérimentés) et d’échanges entre pairs.

Un mentoring de haut niveau par des entrepreneurs (qui sont passés par là !).
Un réseau de partenaires opérationnels (grandes entreprises, réseaux de l’ESS, collectivités locales…).
Un accompagnement individualisé par l’équipe d’Antropia ESSEC.
Un réseau d’experts métiers (réseau Alumni ESSEC et Partenaires d’Antropia ESSEC).
Un réseau de financeurs.
Une visibilité renforcée.
Une communauté pour s’entraider.
La possibilité de proposer des missions aux étudiants de l’ESSEC.
Un pool de prestataires sélectionnés.

Regards d’Antropien·ne·s

Le facteur humain